La Grange Web

La guerre du Net politique aux USA

Alors que les primaires pour les élections présidentielles 2008 aux Etats-Unis ne devraient pas avoir lieu avant un an, la guerre de la communication politique a, elle, belle et bien commencé sur le Net. Ses armes : les blogs des candidats ou de leurs sympathisants ainsi que la publicité sur ces mêmes blogs ou via des liens sponsorisés. Il faut dire que la formule est économique. Une campagne de publicité standard sur des blogs peut osciller entre 2.900 dollars la semaine et 250 dollars. Des chiffres dérisoires par rapport au coût d’un spot télévisé de 30 secondes. Seul hic : la couverture n’est pas la même. Les blogs ne touchent que quelques millions de lecteurs et leur audience n’est pas représentative de la population. Le point sur cette bataille.   Bulle 2.0 Depuis que tous les indicateurs de son écosystème (investissements publicitaires, nombre d'internautes, création de start-up, levées de fonds, etc.) sont à la hausse, le Web suscite une angoissante question : y a-t-il une nouvelle bulle du secteur ? La plupart des analyses se veulent rassurantes, argumentant sur la solidité des fondamentaux de l'économie du Web 2.0. A contre tendance, Sean X Cummings, directeur marketing du moteur de recherche Ask.com, démontre, dans une tribune pour iMedia Connection, que oui, il existe bel et bien une nouvelle bulle de l'Internet. Pas d'inquiétude, précise toutefois l'auteur, il ne s'agit pas d'une bulle de savon mais d'une "pinata" : à l'image de la tradition mexicaine qui consiste à exploser une coque en forme de boule pour obtenir des friandises ou des confettis, quand la nouvelle bulle Internet éclatera, il en sortira suffisamment de rescapés pour reconstruire un écosystèm ;Comment vendre du contenu sur mobile Des centaines d’entrepreneurs se sont rassemblés cette semaine au 3GSM à Barcelone pour parler de l’avenir du mobile. Leur principale préoccupation : comment inciter les utilisateurs à partager des contenus multimédia générateurs de revenus, comme cela se fait sur Internet ?

DailyMotion veut devenir un véritable media

Propos tenus par Benjamin bejbaum

DailyMotion se porte très bien et a récemment intégré le top 100 Alexa des principaux sites internet mondiaux. Le site génère désormais une audience de 2 millions de visiteurs uniques et 36 millions de pages vues par jour. C'est une formidable satisfaction pour moi et Olivier Poitrey, mon associé, car nous ne pensions pas connaitre un tel succès, deux ans à peine après le lancement du site. Au-delà de ce succès d'audience, nous notons également la présence de plus en plus de contenus créatifs : la petite ceinture, iPol TV, Micro Films, les TomCasts, Charlimar, Présidentielles.net, etc… ce qui nous pousse désormais à développer un programme baptisé "Motion Maker" visant à promouvoir les meilleurs contenus. Nous avons déjà annoncé des accords avec Warner ou la SPPF visant précisément à rémunérer les artistes. Mais l'ambition du programme Motion Maker est effectivement d'identifier les membres les plus créatifs et de pouvoir les rémunérer. Nous avons calculé que MetaCafé perdait de l'argent et pour le moment, le modèle économique de Motion Maker n'a pas été arrêté mais il sera basé sur le partage de revenus publicitaires. Notre philosophie sera plutôt d'offrir 100 euros à 10 personnes plutôt que 1 euro à 1000 personnes et nous n'excluons pas des avances sur recettes pour certains artistes qui souhaiteront un partenariat exclusif avec DailyMotion. DailyMotion continuera d'être une plate-forme communautaire mais nous comptons par contre imposer notre marque comme un véritable média. Nous nous voyons un peu comme un nouveau Nova ou un nouveau Canal+ avec de réelles ambitions dans les contenus. Nous restons donc sur un modèle publicitaire même si nous discutons également avec des sites de vidéo à la demande, pour leur renvoyer du trafic. Il n'y aura pas de DailyMotion TV mais nous discutons avec des chaînes de télévision comme Téléplaisance, entre autres Le mobile est effectivement un axe de développement et nous proposons depuis déjà deux ans d'uploader des vidéos en utilisant le format MMS. Mais nous ne pensons pas reproduire l'intégralité de la plate-forme sur le téléphone car je doute que cela soit vraiment une demande du grand public. L'idée serait plutôt de partager ses vidéos entre amis, de rester fidèle à notre logique communautaire

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TV NET :La révolution selon Joost

          

                                                                                                                                          

: le WEF a compris que pour véhiculer l’image du forum il ne suffisait plus de tenter de séduire CNN, BBC et autres TSR pour obtenir quelques reflets filmés dans les journaux télévisé. Désormais, une bonne partie des sessions sont streamées, podcastées ou webcastées sur la grande Toile directement et sans intermédiaire. Et dans les coulisses les acteurs de ces nouvelles manière de diffuser des images dialoguent avec l’establishment de l’audiovisuel. On y voit le puissant Murdoch participer à des rencontres sur l’avenir de la TV, les dirigeants de BBC finaliser un accord avec Google pour distribuer les contenus sur ces plate-formes vidéos devenus incontournables en à peine 18 à 24 mois (merci le haut-débit !). Dans cette agitation un nom revient constamment comme LA future révolution du monde audio-visuel. Ce nom – Joost - est encore peu connu mais il y a fort à parier que cette marque va faire son chemin ses prochains mois. Si ce projet provoque un formidable « buzz » c’est parce que derrière ce nom se trouve des entrepreneurs qui ont déjà révolutionné le monde de la musique (Kazaa) et surtout du téléphone (Skype). Aujourd’hui, ces innovateurs veulent réunir le « meilleur de la TV et d’Internet » dans un projet qu’ils ont baptisé Joost. Leur plate-forme en phase test sur le web propose aux producteurs d’images (TV, studios cinémas) de distribuer à l’échelle planétaire leurs reportages et films dans une qualité DVD via des technologies similaires à celles qui ont secoué durablement les majors de la musique et les géants des télécoms. Bref, un projet sérieux sur le plan technologique (peer-to-peer), respectueux des droits des créateurs (pas de téléchargement sauvage version YouTube), et surtout réaliste sur le plan économique puisque Joost imagine un financement basé sur la publicité, à l’image des chaînes de TV. Avec, comme fraise sur le gâteau une TV gratuite « où je veux, quand je veux » et des publicités « personnalisable » à l’image de ce qui se passe sur le web. C’est l’interrogation du moment dans la Davos technologique : les pionniers de la musique gratuite et du coup de fil bon marché vont-ils réussir à nouveau leur coup dans le monde des images ? Suspense insoutenable...............................

Ofiice 2007 a t'il gagner son pari

                                                                                                                                                           Office 2007 se vend deux fois mieux qu'Office 2003                                                                                  

                                                                                                                                                            Alors que Windows Vista, sorti le 30 janvier dernier, a dopé les ventes de PC aux Etats-Unis, la nouvelle suite bureautique de Microsoft, Office 2007, semble connaître le même succès même si les campagnes marketing la concernant ont été moins importantes. En effet, selon le cabinet NPD Group, les ventes d'Office 2007 seraient de 108,6% supérieures à celles enregistrées par la précédente version, Office 2003, une semaine après leur lancement. Pour mener à bien cette étude, le NPD Group a recueilli ses données auprès des plus importants vendeurs américains tels que Office Depot, Kmart, Best Buy ou encore Amazon. En outre, le prix de vente moyen d'Office 2007 pour le grand public a baissé de 1,1% pour s'établir à 206,93 dollars. Et si ces ventes ont considérablement augmenté, c'est en partie grâce à l'engouement qu'ont suscité les versions Familiale Premium et Etudiant. Et du côté des entreprises, le succès semble être lui aussi au rendez-vous. Un mois après la sortie de la version professionnelle le 30 novembre 2006, Office Pro 2007 a vu ses ventes progresser de 61,3% alors que celle-ci affiche un prix de vente en hausse de 22,6%. Il est ainsi passé de 245 dollars en 2003 à 301 dollars cette année

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Voyagechic.com ,le voyage haut de gamme

Quand Voyagechic.com se lance en septembre 2005, il fait le pari d'un positionnement novateur sur le Web : le voyage haut-de-gamme.. Un an et demi après, le tour opérateur pense avoir réussi ce pari et revendique 3 millions d'euros de volume d'affaires en 2006. Comme annoncé, une levée de fonds a été réalisée en mars 2006, correspondant à 20 % du capital de la société. Karim Loukil, son fondateur, veut rester discret sur l'identité de ces nouveaux actionnaires, expliquant qu'ils travaillent également dans le secteur du voyage. "Beaucoup de gens étaient dubitatifs quant à notre positionnement", affirme le fondateur, qui annonce un panier moyen de 2.937 euros, soit 1.335 euros par passager. Le taux de transformation est en revanche relativement faible, à 0,14 %. Mais le tour opérateur maintient son choix de vendre uniquement des packages dynamiques, permettant le voyage à la carte, et se refuse à proposer des vols secs susceptibles de faire augmenter ce taux de transformation, mais avec des marges beaucoup plus faibles. Le site attire une clientèle très féminine, puisque 69 % des réservations sur le site ont été réalisées par des femmes. Le tour opérateur a mis en ligne une nouvelle version de Voyagechic.com, plus conforme à son image. "Il y avait sur la V1 un décalage entre notre positionnement haut de gamme et la page d'accueil, explique Karim Loukil. Nous avons ainsi fait disparaître les prix affichés". L'argument tarifaire ne serait pas le premier avancé par les acheteurs de voyages, a fortiori haut de gamme

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Bouygues va vendre des maisons low cost

Tout va-t-il bientôt pouvoir se vendre sur le Net ? Alors que Vente-Privée proposait récemment des voitures à la vente en lign Maisons Elika, une filiale de Bouygues Immobilier, s'apprête maintenant à vendre des maisons en ligne. Une façon pour le constructeur de se mettre à la portée des foyers modernes, tout en réalisant des économies sur la commercialisation. Ainsi, courant 2007, les internautes pourront réserver une maison à 145.000 euros sur le site Maisons Elika. En 2005, le ministre du logement, Jean-Louis Borloo, a appelé constructeurs immobiliers et collectivités à favoriser la mise en vente de maisons à 100.000 euros pour faciliter l'accession à la propriété des foyers modestes. A ce jour, vingt-deux communes ont signé la charte des maisons à 100.000 euros, ainsi que de nombreux opérateurs dans immobilier. Autant de projets toutefois majoritairement réservés aux foyers titulaires de logements sociaux, et dont les revenus ne dépassent pas 2.000 euros par mois. Mais quid de la classe moyenne ? C'est ce qui a amené la filiale de Bouygues Immobilier à imaginer des maisons standards de 83 m2 à 145.000 euros, destinées aux foyers dont les revenus sont équivalents à 2.500 euros. A partir du 2ème trimestre 2007, les personnes intéressées pourront réserver l'une de ces maisons sur le Net : "L'utilisation d'Internet permet de faciliter les échanges avec la cible des clients jeunes actifs qui ne sont bien souvent que peu disponibles, mais en revanche plutôt bien équipés en haut-débit." explique Philippe Jossé, président de Maisons Elika. Grâce à cette opération, le service électronique de gestion du parc Elika sera centralisé pour toute la France à Malakoff. Un système qui, comparativement aux mandats d'agences représente une source d'économies non-négligeable. D'autre part, les maisons étant standards, les communications concernant l'avancement des travaux peuvent être réalisées collectivement en direction d'un groupe d'accédants, et de manière électronique, plutôt qu'individuellement et par courrier.

Rhone alpes web tv Une approche qui amorce le futur

Le lancement de la web tv en septembre dernier éclaire un peu plus de l'avenir

Pourquoi cantonner la vidéo sur Internet à la promotion publicitaire, dans le domaine du tourisme, et ne pas lui donner toute sa dimension d'information et d'accompagnement des internautes ? C'est la question que s'est posée le Comité Régional du Tourisme (CRT) de la région Rhône Alpes, qui souhaitait imaginer un outil de communication innovant pour promouvoir son territoire touristique. Sous l'impulsion de son président, Hervé Saulignac, qui est également vice-président du conseil régional de Rhône-Alpes dans le domaine des NTIC, et de son directeur Marc Bechet, la première WebTV touristique régionale a vu le jour le 13 septembre 2006. Une initiative qui a convaincu en décembre dernier le jury international d'un concours dédié aux technologies innovantes dans le domaine touristique, qui a décerné à Rhonealpes.tv le prix de la Communication. Le Comité régional avait tout d'abord réalisé un important travail en 2004 de constitution d'un système d'information touristique en Rhône Alpes, baptisé SITRA, rassemblant l'ensemble des prestataires touristiques de la région dans une base de données, tant publics (comités départementaux du tourisme) que privés (hôteliers…). Mais en 2006, le CRT a souhaité faire un pas de plus pour promouvoir ses prestations et activités, au-delà de l'agrégation des données. "Nous avons choisi de basculer de la communication à l'information. Et au-delà de la simple promotion publicitaire, nous voulions passer sur du conseil et des suggestions dans le domaine du voyage et des loisirs", explique Aurélie Devif, responsable éditoriale en charge de RhôneAlpes.tv au CRT Rhône Alpes. Internet étant devenu le premier outil de recherche de prestations touristiques, le CRT a eu l'idée d'associer la vidéo et le Web dans le cadre d'une WebTV. Accessible à l'adresse Rhonealpes.tv, ce site reprend tous les codes de la presse télévisuelle et du magazine, proposant tous les jeudis un nouveau magazine de 13 minutes, mais aussi des reportages et des documentaires. "La vidéo nous paraissait le meilleur vecteur de promotion. Or la région Rhône Alpes, qui est relativement vaste, n'a pas forcément une identité touristique forte, comme l'Alsace ou la Bretagne", précise Aurélie Devif. Aussi pour renforcer cette identité, pas question de s'en tenir aux sujets touristiques les plus attendus. Les magazines mettent en valeur un territoire au travers d'une thématique ou d'une actualité, et font voyager l'internaute dans d'autres départements, via d'autres sujets intégrés. Pour accompagner le lancement de cette WebTV, le CRT a réalisé une refonte complète du site en juillet 2006, de manière à articuler les contenus vidéo en préparation, la newsletter et les contenus du site, et à lui donner une dimension éditoriale. Le moteur de recherche permet de remonter ainsi l'ensemble des contenus liés à un mot-clé, et capitalise sur la base de données SITRA. La newsletter, qui compte à l'heure actuelle 400.000 abonnés, paraît tous les jeudis et détaille cinq bonnes idées de week-ends en lien avec les thématiques abordées dans les vidéos. Pour la création des contenus vidéo, le CRT a opté pour une stratégie en "boule de neige" : les deux reportages intégrés au magazine sont réalisés et financés par des partenaires, comme par exemple les Comités Départementaux du Tourisme. "Nous avons notamment travaillé avec l'Isère pour intégrer les contenus vidéo qu'ils avaient déjà réalisés auparavant. Nous les encodons de manière à les intégrer dans notre magazine. Nous avons maintenant défini une charte de création vidéo, et nous souhaitons ainsi collaborer avec les autres départements", indique la responsable éditoriale du CRT. Si celui-ci a réalisé 22 magazines depuis septembre, le site propose la consultation de 130 vidéos. Des échanges de liens entre les sites permettent de générer du trafic entre les partenaires

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Les internautes et la jungle Internet

                                                                                                                                                           Une étude réalisée par la société Xiti pendant quatre ans sur plus de 186.000 sites web, est révélatrice: la croissance des visites ralentit fin 2006. Le nombre d'internautes n'a pas baissé, mais ils fréquentent plus de sites différents, moins souvent.                                                                                              

Les internautes se dispersent de plus en plus sur internet Une étude réalisée par la société Xiti pendant quatre ans sur plus de 186.000 sites web, est révélatrice: la croissance des visites ralentit fin 2006. Le nombre d'internautes n'a pas baissé, mais ils fréquentent plus de sites différents, moins souvent. Analyse L'année 2006 a vu un ralentissement de la croissance dans la fréquentation des sites web, selon une étude réalisée par le spécialiste de l'audience internet Xiti. La société base ses conclusions sur un périmètre de 186.768 sites audités par ses soins pendant quatre ans. Ils sont basés dans le monde entier, mais français pour plus de 50%,  Sylvie Gueras, responsable des études chez Xiti. «Notre étude s'appuie sur un périmètre constant, ce qui nous permet de dégager l'évolution de la fréquentation moyenne des sites, comment se comporte le nombre de visiteurs dans le temps, mais pas de donner une évaluation de la consommation totale du web», prévient-elle. Car il n'existe aucun système capable de mesurer l'internet dans sa globalité. Sur ce périmètre d'étude, la fréquentation a doublé en quatre ans: «pour 100 visites enregistrées en janvier 2003, on en observe 198 en janvier 2007», note Xiti. Une croissance essentiellement mécanique, due à l'augmentation du nombre d'internautes. «Mais cette croissance marque le pas en 2006, particulièrement au second semestre». Un enjeu: la fidélisation des internautes Cette tendance est particulièrement flagrante pendant les périodes habituelles de creux d'audience, c'est-à-dire durant les mois d'été et la fin d'année. Ainsi, le nombre de visites à la fin 2006 est passé en dessous de celui de décembre 2005. Cela ne s'était jamais produit en quatre ans: les périodes creuses, d'une année sur l'autre, attiraient malgré tout toujours plus de visiteurs. «Il y a de plus en plus d'internautes, mais aussi de plus en plus de sites qui se disputent leurs visites», avance Sylvie Gueras. «La concurrence est de plus en plus forte et les internautes se dispersent plus, c'est-à-dire qu'il visitent plus de sites, mais du coup reviennent moins souvent sur un même site». Impossible toutefois pour elle de dire le rôle joué par les blogs, phénomène indéniable de 2006 en terme d'audience, dans cette dispersion. En revanche, cela confirme, selon Xiti, «l'importance croissante que prend la fidélisation des visiteurs pour le développement des sites internet»

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Club Internet en Mpeg4

                                                                                                                                                    

Alors que la plupart de ses concurrents utilisent, pour leurs flux de télévision via ADSL, un encodage basé de type Mpeg2 (standard utilisé pour les chaînes gratuites de la TNT), Club Internet annonce aujourd'hui son intention de convertir ses signaux de TV en Mpeg4 dès le mois de mars prochain, dans le but de réduire la bande passante requise par la transmission de ces flux de données sans altérer la qualité de l'affichage chez l'abonné. S'il requiert un décodeur récent et plus puissant, le Mpeg4 permet d'assurer une compression plus efficace des vidéos que son auguste prédécesseur, le Mpeg2. Club Internet précise qu'il fera passer ses flux de TV sur IP de 3,8 Mb à 2,4 Mb, sans perte de qualité lors de la restitution sur un téléviseur. En diminuant la bande passante consommée par ses flux, le fournisseur espère être en mesure de proposer de nouveaux services ainsi que d'étendre l'éligibilité aux services de télévision par ADSL. Les abonnés qui disposent d'une TV Box Club Internet pourront profiter directement de cette nouvelle fonctionnalité dès qu'elle sera lancée, puisque le boitier est capable de décoder les flux Mpeg4.

WengoMeeting .La visioconference débute lundi 19 FEVRIER

Wengo lancera WengoMeeting, un nouveau service de mise en relation.                                                                                                                                                          

WengoMeeting est une solution de visioconférence qui permet de mettre en relation jusqu'à cinq internautes simultanément. Réunions, conférences ou cours à plusieurs seront les principales application visées par le service. Lequel est d'ores et déjà disponible en version bêta. La solution se distingue à la fois par sa simplicité d'usage et sa mise en œuvre. Tout se fait en ligne. Après inscription (si besoin), une interface des plus simples permet de fixer le jour et l'heure du rendez-vous. Lequel est alors envoyé par e-mail aux différents participants qui, à l'heure dite, n'ont plus qu'à cliquer sur un lien pour démarrer la réunion en ligne. Côté plate-forme, WengoMeeting exploite les technologies web et le format Flash pour l'encodage des flux vidéo. Ce qui évite toute installation de plug in ou autre logiciel sur la machine de l'utilisateur. Un navigateur (Internet Explorer 6 ou 7, Firefox 1.5.x et 2.0, Safari...), une connexion haut débit et, indispensable, une solution webcam et casque audio, suffisent pour exploiter le service. WengoMeeting s'inscrit dans la droite ligne de la stratégie Wengo de déployer une place de marché de mise en relation de personne à personne.