les améliorations de l'iPhone 3G S résident dans le nouvel OS 3.0 d'Apple dévoilé au mois de février dernier (fonction copie-coller, gestion des MMS...)
Il sera par ailleurs disponible à partir du 17 juin, via iTunes, pour les actuels possesseurs d'un iPhone, gratuitement pour ces derniers, moyennant le paiement de 7,99 euros pour les utilisateurs d'iPod.
Le nouvel iPhone progresse sur un autre terrain : celui de la rapidité d'exécution d'abord. L'iPhone 3G S (pour speed) est en moyenne deux fois plus rapide que l'actuel iPhone 3G, clame Apple. Pour lancer un jeu (2,4 fois plus rapide), ouvrir l'application SMS (3,6 fois plus rapide), charger une simple page Web (2,9 fois pour afficher une page du New York Times)...
Autre amélioration majeure et attendue par les spécialistes : le capteur photo de 3 méga pixels, équipé d'un mode macro et d'un autofocus. Tapotez l'écran de l'iPhone et la mise au point se fait automatiquement. La vidéo fait aussi son apparition avec la possibilité d'enregistrer des films de 30 images par seconde en mode VGA, de les éditer sur l'appareil, avant de les poster sur Youtube, ou de les transmettre par mail.
A main levée, une majorité de députés ont rejeté le projet de loi "protection des droits sur internet" issu de la commission mixte paritaire (CMP) de mardi dernier, alors qu'il avait été voté plus tôt dans la matinée au Sénat.
Le résultat a été de 21 voix contre et 15 pour, a indiqué le président de séance à l'Assemblée, Alain Néri.
La disposition centrale du texte, voulue par Nicolas Sarkozy, prévoyait de sanctionner le téléchargement illégal par une coupure de l'accès internet de deux mois à un an.
Le gouvernement peut maintenant soit retirer le texte, soit organiser une nouvelle lecture par les députés du texte tel que voté par l'Assemblée (donc sans la "double peine"), suivi d'une nouvelle lecture au Sénat.
Les députés ont décidé, à l'unanimité, jeudi, (UMP, NC, PS, Verts, PCF)
et contre l'avis du gouvernement que les abonnés internet dont la ligne
serait suspendue pour téléchargement illégal, n'auraient pas à payer
leur abonnement durant la durée de la sanction.
En outre, selon les deux amendements au projet de loi internet, votés
en ce sens (36 voix contre 0), à l'initiative du Nouveau Centre (NC),
des Communistes et des Verts, seul l'accès internet pourra être
suspendu pour téléchargement illégal pour les internautes bénéficiant
d'offres groupées (internet, téléphone, télévision)
Fondatrice de Media Future, Nathakis Pavia présente ItsMeCard, un nouveau service de carte de visite en video à destination des professionnels.
tsmecard est une carte de visite vidéo et est non seulement la
signature personnalisée de vos e-mails mais aussi une formation à
l'expression orale devant une camera. Pour la réalisation d'une
itsmecard, nous avons développé une méthodologie pour maximiser
l'impact de votre vidéo. Un cameraman avec tout son équipement vidéo,
son et lumière se déplace sur votre lieu de travail pour vous filmer
dans les langues de votre choix.
Si cela vous tente ici
La future loi vise à enrayer le téléchargement illégal de musique et/ou de films. Pour ce faire, le texte institue un mécanisme de "riposte graduée ", sous la houlette de la Haute autorité administrative.
Lorsqu'un internaute téléchargera illégalement une oeuvre musicale ou cinématographique depuis Internet, il sera rappelé à l'ordre, d'abord par l'envoi de mails d'avertissement puis, en cas de récidive, d'une lettre recommandée, et enfin par la suspension, voire la résiliation de son abonnement Internet.
Pourquoi le texte fait-il polémique?
La mesure de suspension de l'accès à Internet concentre les critiques des opposants au texte. Ces derniers jugent en effet cette mesure "disproportionnée", puisqu'elle impliquerait une "mort sociale électronique" de l'internaute visé par la sanction.
Autre problème, le fait que le repérage des pirates se fassent par des sociétés privées. Ce sont en effet les ayants droit et les producteurs qui repèreront les internautes contrevenants sur le Web, qu'ils signaleront à la Hadopi. De telles enquêtes relèvent actuellement de la compétence judiciaire.
Troisième point de crispation, la future loi va donner à la Hadopi, autorité purement administrative, des pouvoirs judiciaires. Pourtant, constitutionnellement, l'autorité judiciaire est la seule apte à instruire et juger en matière pénale. Actuellement, les pirates qui téléchargent illégalement risquent jusqu'à 300 000 euros d'amende et trois ans de prison.
Obstacle supplémentaire, et non des moindres, au niveau de la technique cette fois: les fournisseurs d'accès à Internet (FAI) ne sont pas, pour le moment, en capacité de filtrer l'ensemble du réseau. Pourtant, c'est auprès des FAI que la Hadopi récupèrera les coordonnées des pirates.
LE jeudi 26 mars, à l’Espace public numérique de la mairie du 3e
(62, rue de Bretagne), Benjamin Bayart, président de FDN, expliquera « Hadopi pour les nuls
». Il explorera notamment le « positionnement de la loi Hadopi et des
pistes pour revisiter le droit d’auteur ». Le 1er avril à 20 heures, à
la Cantine (151, rue Montmartre), Avocats Associés organise
un « happening juridique » sur la question « Existe-t-il une résistance
légale à la loi Hadopi ? Résistances politique, technique et juridique
». Y participeront notamment Christian Paul (député PS) et Jean Dionis
du Séjour (député Nouveau Centre).
Le service sera lancé le 7 avril, un jour avant la commercialisation du terminal à la pomme par SFR...
C'est une plate-forme permettant aux internautes de créer leur propre radio sur internet
Elle annonce avoir réalisé une nouvelle levée de fonds. Discrète sur le montant exact de cette opération, la société indique néanmoins avoir reçu un total de plus de 1,5 millions d'euros depuis sa création.
Revendiquant plus de 1000 stations créées par les internautes,
Radionomy devrait ainsi pouvoir passer le cap des 5000 webradios
hébergées dès cet été.
A vous de decouvrir ...............Ici
Les dirigeants de la firme chinoise Alibaba annoncent vouloir prendre du recul par rapport à Yahoo! qui est entré à hauteur de 39% dans le capital du groupe.
La semaine dernière Jack Ma, PDG d'Alibaba, expliquait à Reuters qu'il avait sa propre philosophie de gestion avant d'ajouter : « je fais les choses comme bon me le semble, je n'écoute pas Yahoo! ». Pour Jack Ma le retrait de Yahoo! ne serait d'ailleurs pas plus mal pour l'avenir d'Alibaba : « s'ils restent, c'est bien », affirme-t-il puis : « s'ils partent, c'est vraiment bien, c'est comme cela que nous faisons les affaires
Yahoo! continuerait sa stratégie sur la recherche mobile et s'attaque cette fois au marché européen.
La firme de Sunnyvale entend bien prendre la suite de l'accord actuellement établi en l'opérateur Vodafone et Google.
Ces six derniers mois la part de marché de Yahoo! sur le domaine de la
recherche sur Internet augmente régulièrement tandis que celle de
Google baisse légèrement mais la firme de Mountain View détient
toujours plus de 80% du marché.
Vodafone détient 44% de SFR et serait prêt à
investir davantage si Vivendi ouvrait son capital. L'on pourrait donc
imaginer qu'en France SFR pourrait un jour embarquer par défaut la
suite Yahoo! Mobile sur certains de ses téléphones.
le site Dromadaire.com vient d'annoncer qu'il s'était hissé au premier rang mondial de son secteur.
il est plutôt rare qu'un site internet français en langue française s'impose comme leader mondial de son secteur.
Sur le mois de janvier 2009, Dromadaire.com a enregistré une audience de 7,7 millions de visiteurs uniques
Au fait c"est site de cartes de voeux électroniqueq.........
Le lien: ici
Google News collecte automatiquement les titres et les extraits d'articles émanant de plus de 4.500 titres. Il suffit pour l'internaute de cliquer sur le lien concerné pour accéder à la page originale. Malgré les différends entre Google et des éditeurs de renom (Associated Press, Agence France-Presse...), le trafic généré via Google News a amené de nombreux acteurs à trouver un terrain d'entente avec la société internet américaine. Les liens sponsorisés (textes) sont proposés à droite de Google News US. Cette initiative intervient après que Google ait fermé son activité publicitaire à la radio et dans la presse écrite.
un rapport sur l'état du trafic Internet sur 2008 et début 2009 et note
une baisse des échanges peer-to-peer face à la montée du streaming.
Selon les experts, le trafic généré par les logiciels peer-to-peer
aurait baissé par rapport à 2007, même s'il représente tout de même
plus de 40% du trafic Internet en Europe de l'Est (69,95%), au
Moyen-Orient (44,77%), et en Europe du Sud Ouest (54,46%). Sur le
trafic peer-to-peer, c'est Bittorrent qui mène la danse, suivi du
réseau eDonkey.
Accueil - Social Web
La société allemande Ipoque vient de publier un rapport sur l'état du trafic Internet sur 2008 et début 2009 et note une baisse des échanges peer-to-peer face à la montée du streaming.
Ipoque a travaillé conjointement avec les fournisseurs d'accès à Internet ayant accepté de participer à cette étude. En tout 1,3 petaoctect de données a été analysé dans 8 régions du globe. Cela couvrirait les usages de 1,1 million d'internautes. Selon les experts, le trafic généré par les logiciels peer-to-peer aurait baissé par rapport à 2007, même s'il représente tout de même plus de 40% du trafic Internet en Europe de l'Est (69,95%), au Moyen-Orient (44,77%), et en Europe du Sud Ouest (54,46%). Sur le trafic peer-to-peer, c'est Bittorrent qui mène la danse, suivi du réseau eDonkey.
Il est intéressant de constater qu'au sein du trafic peer-to-peer, 60%
des échanges de films sont effectués via les logiciels BitTorrent en
Europe du Sud alors que taux n'atteint que 30% en Allemagne, un pays où
ce mode de partage est principalement réservé aux logiciels. De son
côté, eDonkey serait principalement utilisé par les mélomanes.
Parallèlement, Ipoque note une hausse du trafic web (HTTP), un
phénomène qui s'expliquerait par la prolifération des sites de
téléchargements directs tels que MegaUpload ou RapidShare. Notons aussi
que les services de streaming, et plus précisément ceux faisant usage
de la diffusion de vidéo en Flash, connaissent une belle croissance, à
tel point que nombre d'entre eux ont été fermés au Moyen-Orient.