La Grange Web

Caradisiac.com et Lacentrale.fr ensemble pour l'avenir

Fusion en vue dans le secteur des annonces automobiles sur internet: le groupe français Spir Communication, propriétaire de Caradisiac.com, a signé «une lettre d'intention» pour rapprocher sa société avec Schibsted Classified France. Cette dernière, filiale du groupe norvégien Schibsted, édite le site Lacentrale.fr. Le montant de la transaction n'est pas précisé. L'opération devrait être effective au mois de juin 2007, sous réserve de validation par les autorités de la concurrence. «Le marché français des annonces classées d'automobiles sur internet connaît une très forte croissance, et enregistre régulièrement l'arrivée de nouveaux acteurs», écrivent les deux partenaires dans un communiqué commun. «Son évolution, à l'instar de marchés étrangers plus matures, conduira à l'émergence d'un nombre limité de grands opérateurs». La future entité rassemblant Caradisiac.com et Lacentrale.fr ambitionne donc de devenir le leader de ce marché. Les deux sites revendiquent ensemble plus de 2,23 millions de visiteurs uniques, 11,7 millions de visites et 129 millions de pages vues en un mois (chiffres d'octobre 2006). «Des synergies significatives sont attendues en matière de commercialisation d'annonces classées auprès des professionnels et des particuliers, mais aussi des espaces publicitaires», affirment les deux groupes. Pour 2006, le nouvel ensemble, qui serait détenu à parité par Spir Communication et Schibsted, devrait réaliser un chiffre d'affaires de 42 millions d'euros, pour un excédent brut d'exploitation (Ebitda) de 10,7 millions. Caradisiac, portail dédié à l'automobile, passe sous la coupe de l'éditeur de presse Spir Communication, filiale du groupe Ouest France. Le montant exact de la transaction n'a pas été dévoilé. Avec 38 millions de pages vues par mois, plus de 80.000 annonces de voitures d'occasion émanant de particuliers et de professionnels, ainsi que 800.000 abonnés à sa newsletter, Caradisiac revendique la première place des portails automobiles en France. Le site a été crée en 2000 par Cédric Bannel, avec le soutien de fonds d'investissements et du groupe automobile Renault. L'année suivante, la société renforçait sa position sur le marché français avec l'acquisition de son concurrent Procar, pour 12 millions d'euros. Pour l'année 2005, elle prévoit un chiffre d'affaires d'environ 4 millions d'euros, selon La Tribune. «Cette acquisition constitue pour le Groupe Spir Communication une première étape dans l'accélération de son processus de développement Internet, afin de proposer à ses annonceurs des solutions de communication de proximité toujours plus innovantes et efficaces», peut-on lire dans un communiqué

.

FIREFOX /Mise a jour pour Vista

La fondation Mozilla a publié ce W.E une nouvelle version officielle de son navigateur Web à succès : Mozilla Firefox .    Firefox 2.0.0.2 corrige également un nombre important de failles de sécurité dont une liée à la corruption de la mémoire. A noter que les utilisateurs d'une version précédente de Firefox peuvent aussi mettre à jour leur navigateur en passant par le module de mise à niveau automatisé. Si vous souhaitez en savoir plus sur Firefox et ses concurrents,
voir l'article

Les navigateurs internet :Vous les connaissez tous ? ? ?

Internet Explorer et Firefox sont les deux navigateurs Web les plus populaires. Mais leur succès n'a pas empêché quelques éditeurs ingénieux d'imaginer d'autres façons d'explorer la Toile et de proposer des solutions tout aussi crédibe

Coup de coeur : Opera 9, de Opera Software Gratuit - en français Opera, c'est un peu l'antonyme de K-Meleon, l'Airbus A380 des navigateurs... Opera n'a pas peur du gigantisme et la liste de ses fonctions est impressionnante. Il sait tout faire en standard : il navigue à la voix (en anglais uniquement), il remplit tout seul les formulaires Web, il retient intelligemment les mots de passe, il incorpore le protocole de téléchargement BitTorrent en standard, il dispose d'un puissant gestionnaire de téléchargement, il affiche une vue miniature des onglets pour les voir sans les ouvrir, il utilise des Widgets (gadgets logiciels), et il offre une gestion avancée des zooms, des impressions, et des onglets... Bref, tout ce qui, sur les autres navigateurs, nécessite des modules d'extension est ici présent en standard !                                  K-Meleon, de Kmeleon.org Gratuit - en français S'appuyant sur le même moteur de rendu des pages que Mozilla Firefox, K-Meleon est un navigateur léger et ultrarapide, spécifiquement conçu et optimisé pour Windows (contrairement à celui de la fondation Mozilla). Il utilise son propre mécanisme d'extension, propose une navigation dans les historiques originale et consomme moins de ressources que les autres navigateurs, ce qui le rend bien adapté aux machines les plus anciennes.                                   Browse 3D , de Browse3D Corp Shareware (30 €) - en anglais Il existe une alternative aux onglets de Firefox et d'Internet Explorer 7... C'est ce que démontre brillamment Browse 3D qui vous plonge au centre d'un cube. Sur le mur du fond s'affiche la page actuellement visitée, sur celui de gauche les miniatures des sites où vous êtes déjà passés, sur celui de droite celles des sites vers lesquels pointent le site actuel ou dont vous avez préalablement demandé le chargement. Entièrement visuel, Browse3D est déroutant de prime abord mais présente ensuite d'indéniables avantages lorsque l'on réalise des recherches sur un sujet précis ou que l'on veut comparer des articles sur des sites de vente en ligne par exemple.                                         Flock , de Flock Inc Gratuit - en anglais Surnommé le « navigateur social » et basé sur le moteur de Firefox, ce logiciel de navigation dispose de fonctionnalités spécifiquement élaborées pour simplifier l'usage des blogs et de certains sites communautaires. Chez lui, le partage, l'échange et la communication sont innés ! Ainsi, les favoris se gèrent directement par le biais du site « del.icio.us » (partage de signets), il intègre le mécanisme de tags du moteur Technorati (moteur de recherche de blogs), et s'intègre au service d'échange de photos Flickr, proposant à chaque fois des solutions plus conviviales que le traditionnel accès Web de ces services. Offline Explorer , de MetaProduct Shareware 30 € - en français Ce navigateur hors connexion vous permet de visiter n'importe quel site préalablement capturé sur disque. Toute la force d'Offline Explorer réside dans sa capacité à récupérer à peu près tous les contenus, y compris les vidéos et animations Flash. C'est sans conteste la solution la plus performante pour emporter avec soi sur un portable un site entier et le consulter sans connexion Internet. Très pratique aussi pour faire une démo sans accès Internet.  Webaroo , de Webaroo Inc Gratuit / en anglais Voilà un concept original et prometteur... A première vue, Webaroo ressemble à un navigateur hors connexion. Pourtant, son principe est subtilement différent. Il s'appuie sur le concept de « Web Packs », des ensembles de sites Web présélectionnés pour vous sur toutes sortes de sujets (stars, artistes, sujets d'actualité, thèmes scientifiques : il y en a des milliers). Évidemment, vous pouvez concocter vos propres packs à partir de vos sites favoris. Une fois le pack téléchargé, vous voilà en mesure de faire des recherches et de consulter les sites sans pour autant être connecté à Internet. L'idéal pour surfer dans des transports... Webaroo peut s'installer directement sur une clé USB U3 et même sur les PDA et smartphones Windows Mobile !

Banques 100 % en ligne .Tout reste a faire

Le marché de la banque en ligne s’est structuré ,La gestion de finances personnelles en ligne fait moins peur.    

La banque en ligne aura connu une année 2006 bien remplie. Boursorama a déployé une nouvelle offre bancaire tandis que le pure player Covefi a de son coté changé 
de nom en optant pour Monabanq et en proposant un ensemble de nouveaux services. ING Direct, spécialisé dans l'épargne en ligne a enregistré pour sa part une augmentation record de 25 % du nombre de clients sur l'année. Un nombre important d'internautes auront ainsi sauté le pas de la banque à distance en 2006. Boursorama termine l'année avec 59.300 comptes bancaires ouverts soit un total de 2,2 milliards d'euros de dépôts contre 816 millions d'euros à fin 2005. Le portail de la finance en ligne avait déjà lancé une première fois en décembre 2005 un embryon d'activité bancaire ensuite mis en veille le temps de finaliser l'acquisition et l'intégration en 2006 des actifs de filiale française de la Caixa. Ce rachat aura permis à Boursorama d'élaborer une offre complète de banque directe, une opération facilitée par les démarches déjà réalisées lors du lancement de la première offre de banque en ligne. Depuis octobre 2006 Covefi, l'un des rares pure player de la banque en ligne, propose ses services sous un nouveau nom plus accessible : Monabanq. "Notre objectif est de devenir la banque principale des internautes en proposant une gamme complète de produits à des tarifs plus compétitifs que les banques traditionnelles" explique Nathalie Florent, directrice marketing de Monabanq. La banque compte plus de 200.000 comptes actifs pour un résultat 2006 de 8 millions d'euros. ING Direct France, qui ne propose pas de compte courant à la différence de ses filiales allemandes, espagnoles et américaines, reste focalisé sur les produits d'épargne en ligne. Un positionnement qui lui a permis de convaincre 125.000 nouveaux clients en 2006 pour un total de 626.000 clients. "Il s'agit d'une progression record" précise André Coisne, directeur général de ING Direct. L'année 2006 aura donc été propice aux activités de banque en ligne, signe que l'Internet constitue de moins en moins un frein à la gestion de capitaux à distance. Le profil des clients de Boursorama Banque et de MonaBanq est d'ailleurs similaire : CSP+ autonomes et habitués à payer en ligne par carte bancaire sans distinction d'âge particulière. La situation est différente chez ING Direct : "Nous avons de tout, pas plus de jeunes, pas particulièrement technophiles mais assez aisés tout de même" explique Andre Coisne. "La différence tient à l'importance historique du téléphone dans le cadre de notre relation client. Mais là aussi les choses évoluent : aujourd'hui trois quarts des contacts de ING Direct sont réalisés via Internet et 80 % des clients utilisent Internet pour accéder à leur interface de gestion de compte". Chaque acteur a cependant recours à un modèle propre pour convaincre de nouveaux internautes. Boursorama mise sur la visibilité de sa marque. Sa notoriété lui permet d'abaisser le coût d'acquisition des nouveaux clients. Une économie répercutée sur sa structure de coûts qui lui permet de renforcer la compétitivité de son offre. Le site ne délaisse pas pour autant le monde physique puisque le rachat de Caixa France lui a permis d'hériter de 20 agences bancaires désormais aux couleurs de Boursorama. De son coté, Monabanq s'apprête à lancer une nouvelle campagne de communication plurimédia à compter du mois de mars. Pour convaincre les internautes de tenter l'expérience de la banque 100 % en ligne, l'accent est mis sur les services. Chaque client est en contact par téléphone avec un unique conseiller personnel. Ce contact pourra s'effectuer en visioconférence dès la fin du mois. Autre service mis en avant : un bordereau numérique qui permet de créditer un compte immédiatement et sans attendre la remise de chèque effective via La Poste. "Nous prévoyons de proposer la signature électronique en 2007 pour permettre aux internautes de souscrire certains produits directement en ligne" précise également Nathalie Florent. Enfin, ING Direct entend pour sa part se concentrer sur la compétitivité de ses tarifs pour continuer à attirer de nouveaux clients. "Nous développerons en 2007 l'assurance vie tout en protégeant notre mix pour continuer à ne pas imposer de frais à nos clients". Le bouche à oreille joue également en sa faveur. "Nous bénéficions d'un taux d'affiliation de 20 % et de prescription qui se situe aux alentours de 40 %" explique ainsi son directeur général.

La net politique devient de plus en plus présente

enquête réalisée pour RTL2007.fr, du 24 au 30 janvier 2007, --->pour s'informer sur la campagne présidentielle  61% des internautes déclarent utiliser Internet via les grands médias traditionnels et les portails.

Selon une enquête menée mi-février 2007 par l'Ifop, dans le cadre de son Observatoire de la netcampagne présidentielle, les internautes français sont plus nombreux à s'intéresser à l'actualité politique en ligne. En novembre dernier, 40% des internautes interrogés déclaraient rechercher sur Internet ce type d'informations, cette proportion est désormais de 47% (14% effectuent « souvent » ce type de recherche, 33% « de temps en temps »). Par ailleurs, l'attrait de l'information politique en ligne pour les internautes varie en fonction de l'âge des « surfeurs ». Ainsi, 68% des internautes âgés de plus de 65 ans (population sous représentée parmi les internautes) affirment rechercher ce type d'informations en ligne, cette proportion est inférieure à 40% chez les 18-34 ans. Cette nouvelle enquête Ifop a été réalisée par « questionnaire auto-administré » sur Internet, les 16 et 17 février 2007 Présidentielle : Internet peut-il influencer le vote ? La Toile peut-elle influencer les votes des internautes français pour la présidentielle 2007 ? D'après un sondage commandé par RTL à l'institut Novatris / Harris Interactive, seuls 24% des internautes interrogés en ligne déclarent qu'Internet va les influencer dans leurs votes, a indiqué la radio mardi. Bien que les internautes restent mobilisés, 93% ont l'intention d'aller voter dès le premier tour de l'élection, dimanche 22 avril, seuls 37% d'entre eux affirment savoir « d'une manière certaine » pour quel candidat ils vont voter. Quant aux campagnes d'e-mail marketing politique, initiées, en France, par l'UMP, elles atteignent une cible relativement large. 31% des internautes interrogés déclarent avoir reçu un ou plusieurs de ces courriers électroniques, le plus souvent « négatifs ». Les internautes concernés auraient reçu une majorité de messages d'opposition (72% et 70% respectivement) à Ségolène Royal (PS) et à Nicolas Sarkozy (UMP).

le cyberacheteur et son profil comportemental

                                                                                                                                                       L’achat en ligne ne fera que progresser……………………………………….

Le prix reste un élément déterminant de l'achat en ligne. Mais il n'est pas l'unique facteur pris en compte par les internautes. Selon les secteurs, il a d'ailleurs, plus ou moins de poids. Il est, par exemple, particulièrement important pour les achats d'appareils électroménagers et les produits high tech. 80 % des personnes ayant acheté de l'électroménager sur Internet déclarent que le prix a été une des composantes qui a influencé leur décision de l'acquérir sur le Web. Une réponse qu'ils sont 76 % à faire pour les produits high tech. Autres secteurs relativement sensibles au prix : le sport ex-aequo avec les équipements automobiles (68 % des internautes), la puériculture et la maroquinerie (65 % des internautes), les vêtements et les chaussures (60 % des internautes) ou encore la bijouterie (58 % des internautes). A contrario, les secteurs qui sont les moins sensibles à la concurrence des prix sur le Web sont les produits alimentaires (10 % des internautes) qui représente une part de moins en moins importante dans le budget des ménages, les fleurs (16 %), le jardinage (27 %) et le textile (34 %). Le fait de pouvoir gagner du temps en ne se déplaçant pas en magasin est la deuxième raison pour laquelle les internautes choisissent de faire leurs achats sur le Web. Ce facteur est particulièrement important pour les produits alimentaires (53 % des internautes ayant acheté ce produit sur le Web), mais aussi, pour le voyage (57 % des internautes). Autres secteurs pour lesquels le gain de temps procuré par le Web apparaît comme un facteur important : les biens culturels et les produits de puériculture (50 % chacun), mais aussi l'électroménager (45 %), le bricolage (44 %) et les jouets (41 %). A contrario, les secteurs les moins sensibles à cet argument sont la maroquinerie (14 %), l'équipement automobile (19 %) et les vêtements (22 %), trois secteurs ou le gain de temps n'est pas primordial dans le processus d'achat. Eviter l'affluence est un des autres services importants apportés par le Web. Un argument auquel les internautes ayant acheté des produits culturels en ligne sont particulièrement sensibles puisque 43 % d'entre eux déclarent avoir acheté ce type de produit sur Internet notamment pour éviter la foule en magasin. Une réponse qui vient compléter le gain de temps. Autres secteurs très sensibles au confort d'achat procuré par le Web : les meubles (42 %), la puériculture (39 %) ainsi que les jouets, les vêtements et les produits alimentaires (36 %). En revanche, cet argument concerne relativement peu la vente de fleurs (18 % des internautes), la maroquinerie (19 %) et la bijouterie (22 %). Autre service très apprécié par les internautes qui achètent en ligne : la livraison à domicile. Cette prestation est en fait particulièrement prisée par les personnes qui ont acheté des fleurs sur Internet (85% d'entre eux). Viennent ensuite des secteurs qui proposent des produits relativement lourds et pour lesquels la livraison représente une véritable valeur ajoutée. C'est le cas notamment des produits alimentaires (45 %), de l'électroménager (42 %) ou encore des meubles (41 %) et du bricolage (39 %). Un argument, en revanche, auquel sont insensibles les acheteurs de maroquinerie (5 %), de voyages (8 %) ou encore de bijoux (13 %). En revanche, le fait de bénéficier d'offres promotionnelles n'est pas un facteur décisif dans le choix du canal Internet. Seule exception, les catégories de produits historiquement rattachées à la VPC, telles que les vêtements (43 % des internautes ayant effectué cet achat), le jardinage (43 %) ou encore les articles de sport (39 %). Les produits high tech, les biens culturels et les produits alimentaires (17 %) ne font pas en revanche la différence sur Internet sur ce facteur par rapport au commerce de détail en magasin. Peut-on pour autant dire que les cyberconsommateurs sont des personnes qui fondamentalement n'aiment pas faire du shopping ? Certes 36 % des personnes qui achètent en ligne au moins une fois par mois déclarent qu'elles évitent le plus possible d'aller dans des magasins, et que faire des achats est une corvée. Mais ce comportement est loin d'être majoritaire dans cette catégorie. 73 % d'entre elles considèrent en effet que faire du shopping peut être un véritable plaisir, Internet étant pour elles un canal de vente complémentaire qui leur apporte soit plus de confort pour certains produits, soit de nouvelles occasions de consommer.

Un câble pour migrer de XP à Vista

Ca n’est pas un gag anticipant le 1er avril : Belkin propose un câble pour basculer de Windows XP à Windows Vista. Mais pas sur la même machine ce qui explique tout, car Microsoft a juré ses grands dieux que la mise à jour d’un OS dans l’autre ne serait en rien destructif pour les données ni pour les programmes (pour les programmes, il semble qu’environ 2% des applications ne fonctionneront pas de manière idoine sous Vista, il faudra alors passer par exemple par Virtual PC, également dans l’escarcelle de Microsoft…). Mais revenons à Belkin et à son câble … Le fabricant américain à la tête d’un gigantesque catalogue de périphériques vient donc de dévoiler un nouveau câble baptisé « Easy Transfer Cable For Windows Vista », qui est en fait un câble USB/USB (les deux extrémités du câble présentant les fameux connecteurs plats de l’USB). Sa mission ? Faciliter la vie et la migration des utilisateurs de PC sous Windows XP qui veulent récupérer leurs données, leurs archives et leurs programmes de leur « vieux » PC vers un PC flambant neuf… Hasta la Vista ! Livré avec un logiciel ad hoc, l’ETCFWV (initiales du nom du câble …), permet de relier les deux ordinateurs au sein d’un mini-réseau USB puis de transférer l'ensemble de ses données vers Vista. A noter que l’ensemble câble + logiciel a également été conçu pour se charger à la place de l’utilisateur de migrer automatiquement ses paramètres personnels, ses mots de passe, sa configuration Internet, ses préférences ou encore l'organisation de son bureau… Prévu pour la fin du mois en Europe au prix de 36,90 €, le câble Belkin est d’ores et déjà vendu aux Etats-Unis et connaît déjà un joli succès. A noter qu’une autre solution existe, qui consiste à passer par un câble Firewire/Firewire (moins de 5 euros chez tous les bons revendeurs) dont on se sert pour monter un réseau poste à poste à 50 Mo/s (nos confrères de Windows News viennent d’en donner le modus operandi). Mais cette solution ne comprend pas le logiciel automatisant la reprise des paramètres et puis, au-delà du passage de XP à Vista, le câble USB/USB pourra également servir par la suite à monter un petit réseau poste à poste.

Les fraudes sur Internet seront elles l'un des problémes de l'avenir

  e-commerce : des infractions en hausse sensible

Les infractions relevées en 2006 sur les sites Internet marchands ont augmenté sensiblement. Suite à des vérifications qui ont pratiquement doublé en 2006 (+ 95 % par rapport à 2005), la DGCCRF et le Centre de Surveillance du Commerce Electronique (CSCE) ont observé un taux d'infractions atteignant 31,52%. Le taux d’infractions atteignanit 27,65 % en 2005. Pas moins de 5 038 contrôles ont été effectués sur l’année écoulée. Pour mémoire, le chiffre d'affaires du commerce électronique à destination des consommateurs est estimé entre 12 et 15 milliards d'euros (+ 40 % par rapport à 2005). Le secteur des produits et des services culturels (livres, disques, DVD) arrive en troisième position avec +37,66%, derrière les jeux-concours-loteries-jeux de hasard et l'alimentaire - hors vins et spiritueux. Les manquements les plus fréquents, précise la DGCCRF, sont l'absence des informations obligatoires sur les supports publicitaires (71,4% des manquements), les règles relatives à la publicité des prix (+11,7%) ou à la publicité trompeuse (+ 9,2%). Les autres infractions observées concernent la réglementation sur les soldes et la contrefaçon. Il est à noter que 16% des manquements sont des délits (publicité mensongère, soldes illicites, contrefaçons, tromperie, loterie illégale...). La direction des fraudes annonce avoir reçu 16 334 messages électroniques en 2006 contre 13 657 en 2005. 3 392 concernent la vente par correspondance sur internet et 2 393 les fournisseurs d'accès à l'internet

.

Grace a comparer.com :comparez les présidentiables

Marrant et bien joué:le site comparer.com a ajouter un  service de comparaison des programmes des candidats a l'élection présidentielle.Donc en résumé vous pourrez faire deux pierres d'un coup........Faire un comparatif entre les dix plus belles friteuses et les dix meileurs candidats.Par exemple! ! ! ou Bayrou et ROYAL-----                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                          Le site internet de la chaîne de télévision britannique analyse le «phénomène» Bayrou mais reste sceptique quant à ses chances d’accéder au second tour de la présidentielle. La percée de François Bayrou dans la course à la présidentielle française a traversé la Manche. Le site internet de la BBC se lance à la découverte du candidat de l’UDF, en s’appuyant sur les dernières enquêtes d’opinion qui le placent autour de 17% d’intentions de vote au premier tour. Citant tour à tour Jean-Daniel Lévy de l’institut de sondage CSA, ou l’économiste Nicolas Baverez, le journaliste de la BBC tente d’expliquer sa percée. Parmi les raisons invoquées : les doutes sur la compétence de la candidate socialiste, Ségolène Royal, après ses sorties controversées sur la politique internationale, ou le positionnement de Bayrou en victime des partis traditionnels..

Telechargement video :Projection dans le futur en chiffres ! !

From  BOSTON     Agence   Reuteurs

Le marché du téléchargement payant de vidéos et de programmes TV totalisera quatre milliards de dollars en 2011 aux Etats-Unis, contre à peine 111 millions l'année dernière, selon une étude publiée par Adams Media Research. Explosion d'ici 2011 du marché du téléchargement de la vidéo "Internet va révolutionner la distribution vidéo", déclaré son président Tom Adams. La croissance sera alimentée par l'introduction de nouveaux matériels informatiques, tels que l'Apple TV, un boîtier qui permet de convertir un fichier vidéo téléchargé à une résolution suffisante pour être regardé sur un téléviseur haute-définition. Apple vend ces boîtiers sur son site internet et commencera à les livrer à la fin du mois. Adams Media Research parie sur le fait que les téléchargements de vidéos grimperont graduellement avec l'adoption de tels appareils par le consommateur. Le cabinet d'étude prévoit que les ventes de téléchargement de vidéos atteindront 472 millions de dollars en 2007, 1,2 milliard en 2008, 2 milliards en 2009, 3,1 milliards en 2010, et 4,1 milliards en 2011. Il prédit aussi que les annonceurs investiront sur ce secteur 1,7 milliard de dollars d'ici 2011.