Lancée il y a quelque temps, la plateforme de vidéos communautaire en ligne de Microsoft n’a bien sûr pas manqué d’attirer l’attention des majors du cinéma et de la musique. Comme pour son concurrent YouTube, Soapbox
s’est vu demandé de la part de quelques grandes entreprises l’installation dans ses pages d’un système de filtrage ou similaire afin d’empêcher la prolifération du piratage et de permettre l’effacement automatique de vidéos jugées frauduleuses par le système informatique. La réponse de Microsoft aura été aussi surprenante que directe : pour l’instant, c’est non. Microsoft refuse le filtrage La firme a adressé dernièrement une lettre aux majors dans laquelle elle explique qu’elle ne souhaite pas installer sur son site de système de filtrage automatique. Les destinataires de cette lettre, entre autres Peter Chernin (Fox Group), Jeff Zucker (NBC Universal), Bob Iger (Walt Disney), mais également EMI, Warner Music, Universal Music et Sony BMG essuient donc leur premier refus, et celui-ci vient du premier éditeur mondial. Mais cette dénégation n’est pas un symbole d’un refus de coopérer de la part de Microsoft, mais d’un désir de coopérer autrement. Remplacer le filtrage par le signalement « Microsoft développe ce dont nous croyons que les propriétaires de contenu veulent et aient besoin : des pratiques de notification et de retrait à la pointe de l’industrie, y compris des outils qui permettent à nos partenaires de contenus de trouver plus facilement le contenu qui est légitimement le leur et de nous avertir afin que nous puissions répondre plus efficacement et de façon plus expéditive », explique longuement Blair Westlake, vice-président des médias et loisirs de Microsoft. Il n’est donc pas question de filtrer automatiquement le contenu, mais surtout de permettre aux ayant droit de signaler plus facilement celui-ci et de rendre le système de signalement plus efficace.
s’est vu demandé de la part de quelques grandes entreprises l’installation dans ses pages d’un système de filtrage ou similaire afin d’empêcher la prolifération du piratage et de permettre l’effacement automatique de vidéos jugées frauduleuses par le système informatique. La réponse de Microsoft aura été aussi surprenante que directe : pour l’instant, c’est non. Microsoft refuse le filtrage La firme a adressé dernièrement une lettre aux majors dans laquelle elle explique qu’elle ne souhaite pas installer sur son site de système de filtrage automatique. Les destinataires de cette lettre, entre autres Peter Chernin (Fox Group), Jeff Zucker (NBC Universal), Bob Iger (Walt Disney), mais également EMI, Warner Music, Universal Music et Sony BMG essuient donc leur premier refus, et celui-ci vient du premier éditeur mondial. Mais cette dénégation n’est pas un symbole d’un refus de coopérer de la part de Microsoft, mais d’un désir de coopérer autrement. Remplacer le filtrage par le signalement « Microsoft développe ce dont nous croyons que les propriétaires de contenu veulent et aient besoin : des pratiques de notification et de retrait à la pointe de l’industrie, y compris des outils qui permettent à nos partenaires de contenus de trouver plus facilement le contenu qui est légitimement le leur et de nous avertir afin que nous puissions répondre plus efficacement et de façon plus expéditive », explique longuement Blair Westlake, vice-président des médias et loisirs de Microsoft. Il n’est donc pas question de filtrer automatiquement le contenu, mais surtout de permettre aux ayant droit de signaler plus facilement celui-ci et de rendre le système de signalement plus efficace.
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