A l'occasion de la conférence
LeWeb3, un parterre d'investisseurs représentant des fonds de capital risque s'est penché sur l'hypothétique Bulle 2.0
Longtemps limitée à
la blogosphère, la conférence LeWeb3 change de dimension cette année en donnant la parole aux investisseurs. Après des interventions sur le user generated content, les communautés ou encore le financement de l'
opensource
la bulle en l'an 2000 n'a rien à voir.avec ce qui se passe aujourd'hui . Les acquisitions de start-up se font sur des valorisations tout à fait raisonnables. Même le rachat de
YouTube, qui atteint 1,6 milliards de dollars, s'est fait en actions, et ne représente qu'un peu plus de 1% de la valorisation de
Google"
"Il n'y a peut-être pas de risque financier mais néanmoins une multiplication de jeunes
sociétés existent,, s'appuyant sur les mashups, et proposant sensiblement les
mêmes services avec le même business model. Une grande partie auront disparu l'
Il n’est pas possible qu'on puisse parler de bulle globale mais il existe
parfois une très forte concurrence sur un sujet précis et sur un territoire
géographique limité. En France, il existe par exemple beaucoup de "you
tube" like et cela rend la concurrence encore plus dure pour ces acteurs"
.
Malgré les craintes de certains analystes, il n'existerait donc pas de bulle
2.0. Un sentiment d'ailleurs souvent partagé . Optimisme 3.0 ?
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