La Grange Web

Scribd: des documents textes collaboratifs ! ! !

Scribd, est un site pour partager des documents Scribd est un YouTube pour les documents textes. Il s’agit aussi d’un réseau social qui vous permet de tagguerDefinition ici partager et commenter les documents présents sur le site (au format.doc, .pdf, .txt, .ppt, .xls, .ps, .lit ) On y retrouve bien sur les traits ergonomiques d'un site de partage  mais avec une adaptation intéressante sur le traitement des fichiers textes en plus d’outils statistiques utiles. Les documents peuvent être affichés dans un site dans une visionneuse en html ou en flash. Les fichiers peuvent alors être téléchargés au format pdf doc txt et même mp3. Le fichier mp3 est créé en utilisant un service de text-to-speech qui permet d’écouter une version audio  Vous trouvez déjà sur le site tout type de documents
Vous obtenez également en retour toutes les données statistiques sur les documents présents sur le site comme le nombre de vote et de lecture en plus de l’origine géographique des lecteurs et le site d’où provient votre visiteur
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Kompass rattrape son retard ! ! !

Filiale du groupe PagesJaunes, la société Kompas fournit de l'information sur les entreprises. CD-roms, solutions extranet, fichiers de marketing direct, annuaires imprimés ou encore portail Internet, Kompass se fixe comme objectif d'augmenter l'audience de son site. Dans cette logique, le site Kompass a été complètement refondu en avril 2006. L'annuaire BtoB en a profité pour se recadrer sur son activité principale. "La page d'accueil s'est recentrée sur note cœur de métier : la recherche", explique Gabrielle Mendès, directrice marketing et communication de Kompass. Autre aspect important lié à ce large chantier : le lancement du référencement, avec la sélection de l'agence Takezo. "Nous n'avions pas la compétence en interne et nous avions donc besoin d'externaliser cette activité". L'expérience de Takezo -
, ainsi que ses références, ont finit de convaincre Kompass. Le travail d'optimisation a commencé en juin. Après un audit du site et une étude de mots clés, le plan d'action s'est dessiné en quatre gros chantiers : optimisation, soumission, netlinking et développement du contenu. Premier chantier : l'optimisation du site. "Le site n'était pas suffisamment scrawlable", décrit Gabrielle Mendès. Alors que le site proposait des URL complexes, composées de caractères mal supportés par les moteurs, elles ont été complètement retravaillées pour devenir des éléments compréhensibles et pertinents dans l'indexation. Le même travail de fond a été mené sur les balises. Le référencement a permis d'augmenter les visites globales de plus de 115% Deuxième gros volet : ressortir sur les moteurs. "Figurer sur Google reste une priorité. Malgré tout, nous n'étions pas connu de tous les moteurs de recherche", souligne la directrice marketing. Les pages du site ont donc été soumises manuellement à ces derniers, un point de contrôle étant mené régulièrement pour vérifier la présence du site Kompass. Le netlinking a constitué le troisième point du plan d'actions, avec comme objectif premier d'améliorer la popularité du site. "Takezo dispose d'un groupement de sites possédant un bon page rank". Un réseau propice à l'échange de liens... Parallèlement, Kompass a également créé un poste de responsable marketing clients et partenariats en interne. Dès lors, le groupe peut gérer les partenariats avec les sites liés à l'acticité du groupe. "Plus qu'une problématique BtoB, ces partenariats sont d'un intérêt crucial pour être connu dans la communauté acheteurs". Le denier volet est le développement de nouveaux annuaires. Alors que le site proposait la recherche par secteur et par mot clé, de nouveaux annuaires ont complété l'offre  par marque et par régions.
Des croisements qui ont donné naissance à des pages consultables à valeur ajoutée.

Adscape rentre dans la nébuleuse Google

Google a annoncé sur son site internet l'acquisition d Adscape une société qui place des publicités dans les jeux vidéos, sans fournir de détails financiers. Des analystes avaient indiqué en février que l'arrivée de Google sur le marché de la publicité intégrée aux jeux vidéos pourrait être extrêmement dynamisante pour un secteur encore jeune. Les professionnels fondent beaucoup d'espoirs dans ce nouveau type de publicités, qui visent tout particulièrement une population masculine jeune qui se détourne de la télévision et des autres médias traditionnels en faveur d'internet et des jeux vidéo. "Nous pensons qu'il s'agit d'un média idéal pour diffuser des messages publicitaires pertinents et ciblés qui bénéficient à la fois à l'utilisateur de jeux vidéos, à l'éditeur et au publicitaire", a indiqué Google sur son site internet. Microsoft a déboursé l'année dernière 200 millions de dollars pour acquérir la compagnie de publicité sur jeux vidéos Massive Inc., qui a passé des accords avec UbiSoft Entertainment, THQ et Take-Two Interactive Software.

A long terme Trop de contenu va-t-il tuer le contenu ?

Worshop

Je suis surpris et parfois amusé de m'apercevoir que le mot "contenu" est aujourd'hui dans toutes les bouches. C'est certainement une bonne chose, mais j'ai parfois l'impression qu'on ne découvre qu'aujourd'hui à quel point le contenu est capital dans le succès d'un site web. Pourtant, la célèbre maxime "CONTENT IS KING", est répétée à l'envi depuis que le web existe... Mais ne gachons pas notre plaisir, après tout, s'il a fallu attendre la notion de linkbaiting  pour bien comprendre l'importance du contenu dans le processus de visibilité d'un site, tant mieux ! Le principal est que le message passe... Un site "plaquette" est aujourd'hui quasiment inréférençable sur le Web... On peut d'ailleurs se poser la question fondamentale sur la necessité de donner une quelconque visibilité à un tel site... Le contenu est donc le capital. Notion importante, voire indispensable s'il en est... Mais j'ai aussi parfois l'impression qu'il existe aujourd'hui un vrai risque de trop en faire... A force de parler de contenu à tire-larigot et de triturer le concept dans tous les sens, j'ai un peu peur que se développe une volonté du "contenu à tout prix", voire "à n'importe quel prix"... Avec des pages créées automatiquement par dizaines, reprenant plus ou moins le même contenu, etc. On dérive alors assez vite et on se rapproche à grands pas du spamdexing... Bref, trop de contenu peut tuer le contenu comme sont déjà mortes, dans le cimetière du référencement, les balises meta et les pages satellites... En clair, tant que les sites web développeront du contenu de qualité de façon "raisonnable" et "raisonné", cela ne posera aucun problème. Bien au contraire, cela ne pourra être que bénéfique pour les moteurs... Et les internautes ! Mais si on commence à créer des "usines à contenu automatique" pour mieux référencer des sites web, certaines risquent bien de se faire taper (une nouvelle fois, serais-je tenté de dire...) sur les doigts... Autant être prévenu à l'avance... L'avenir passera par un contenu de qualité créé à l'attention des internautes et auquel on donnera une meilleure visibilité grâce au référencement.

Litige entre les producteurs français de télé et les sites de vidéos dans la ligne

Les producteurs de télévision ont décidé d’accélérer les discussions avec les sites de vidéos en ligne, et notamment Dailymotion qui est celui qui héberge le plus de contenus français. Le litige porte sur toutes les émissions qui se retrouvent en ligne sans autorisation sur ces sites. Les précédents YouTube et Joost C’est l’action aux Etats-Unis de Viacom contre YouTube qui a incité les producteurs français à passer à la vitesse supérieure. Et le fait que Joost, le projet de web-télé des créateurs de Skype, accepte de passer des deals avec les producteurs n’est pas non étranger à cette accélération. Selon nos informations, le Syndicat des producteurs et créateurs d’émissions de télévision (Spect) qui regroupe les entreprises les plus importantes comme Endemol (Loft, Star Ac') ou Fremantle (La Nouvelle Star) s’est réuni mardi pour déterminer la stratégie à suivre. « La question qui se pose, explique Emery Doligé délégué général du Spect, c’est de savoir si on tente de trouver un accord à l’amiable ou si on attaque. Jusqu’à présent, nous n’avons pas eu de discussions concrètes. Nous voulons savoir si les responsables des sites sont prêts à négocier ou non. » Pas de menace de fermeture Tout l’enjeu juridique est de déterminer si ces sites de vidéos en ligne sont de simples hébergeurs ou des diffuseurs. Dans ce second cas, ils seront forcés à négocier ou à retirer les vidéos issues d’émissions de télévision. Pour le moment, le Spect ne brandit pas la menace ultime : faire retirer toutes les vidéos. Le syndicat va bientôt entamer des négociations avec les sites concernés
L’idée est d’imaginer une contrepartie financière. « Il faut trouver un modèle qui convienne à tout le monde, assure Emery Doligé. Ce pourrait être un pourcentage de la publicité, mais tout reste à inventer.» Chez les producteurs télé, on ne comprendrait pas que les mêmes deals, qui ont été passés avec les producteurs de musique, ne soient pas possibles avec eux.

Moblr Une jeune pousse Francaise a suivre

Moblr, qui se voulait être le YouTube des mobiles, revendique désormais avoir passé le cap des 500 000 visiteurs en quatre mois d'existence. Surfant sur la vague des vidéos UGC accédées depuis un mobile, avec les lancements entre temps des plateformes analogues comme Vpod, Scroon ou YouTube Mobile, Moblr permet en effet d'adapter des vidéos fournies par les internautes sur le petit écran d'un téléphone. Moblr est visité par 200 000 mobinautes par mois qui téléchargent les vidéos avant de pouvoir les visionner. En effet, contrairement à YouTube Mobile ou Vpod, les vidéos lues depuis un téléphone sont téléchargées par les airs dans sa mémoire interne avant de pouvoir être lues. Côté statistique, chaque utilisateur visualise 10 pages par visite et télécharge plus de 5 vidéos et photos, les mobinautes de moblr étant des français à 21%, des américains à 9%, des habitants de l'europe de l'est (9%) ou des indiens (8%). 57% des visites se font d'ailleurs via la version anglaise du site. Moblr lancera son nouveau design, permettra de streamer des vidéos ou encore de publier des vidéos privées. Fort de l'audience générée par ce service gratuit, la société entend le monétiser en y insérant des publicités. La RATP et BNP Paribas seront les premiers annonceurs du site via des bannières et liens sponrisés. YouTube Mobile et Vpod cherchent pour leur part à être rémunérés en vendant en marque blanche leur plateforme auprès d'opérateurs mobiles ou sociétés souhaitant développer un tel service dans leur secteur d'activité respectifs.
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karl Zero et la Web TV.Une approche particulière

Privé, depuis juin 2006, de son émission sur Canal+ "Le Vrai Journal", Karl Zéro lorgne de plus en plus vers le réseau des réseaux. Il a créé, fin 2006, une Web TV, leweb2zero.tv . Sponsorisée par AOL, qui héberge également ses interviews dans le Club du Net, cette Web TV propose, depuis six mois, ses billets d'humeur et entretiens filmés, mais aussi la possibilité de voter pour des extraits vidéo, à la manière de YouTube ou de Dailymotion. A partir du 12 mars, pour la campagne électorale, l'animateur - qui vient de bénéficier d'un non-lieu dans l'affaire du courrier du tueur en série Patrice Alègre, lu dans "Le Vrai Journal" en mai 2003 - y présente un journal télévisé quotidien de sept minutes, le Jt2Zero, diffusé sur le portail d'AOL, en partenariat avec VSD et... Coca-Cola. Fort de cette expérience, mais également de la diffusion de longs extraits, sur un site dédié, de son film Dans la peau de Jacques Chirac (César du meilleur film documentaire), Karl Zéro a monté un partenariat avec le fournisseur d'accès à Internet Neuf. Depuis le lundi 5 mars, et un mois avant sa sortie en salles, cette opération permet de visionner, en vidéo à la demande (VoD), son dernier long métrage, Ségo et Sarko sont dans un bateau, sur le catalogue VoD de Neuf TV, au prix de 4,99 euros. Constitué d'archives de l'INA dénichées par le co-réalisateur Michel Royer, d'archives personnelles et de séquences inédites filmées pour "Le Vrai Journal", ce film se veut une lettre ouverte "antilangue de bois et politiquement correcte", adressée aux deux candidats. Cette démarche rompt avec la chronologie habituelle des médias. Actuellement, pour un film classiquement distribué et diffusé en salles, il faut attendre un minimum de six mois pour le retrouver en vente ou en location sous forme de DVD, et trente-trois semaines pour une diffusion par Internet en VoD. Karl Zéro a opté pour une autre forme de distribution, avant de demander le visa d'exploitation pour une sortie en salles.

Feevy :Créer votre propre réseau

Montrer le contenu d'autres blogs à votre site Web avec juste une étiquette simple de HTML

Employer autant de feevies comme vous voudrez Vous pouvez employer autant d'étiquettes feevy comme vous voudrez. les plaçant n'importe où dans votre blog ou votre HTML page.            Vous pouvez :                                        • Remplacer les blogrolls statiques et ennuyeux avec le contenu dynamique et transformer votre blog en portail de Web pour votre réseau des amis                   • Établir un portail vertical                    • Installer une communauté des blogs Comment travail feevy :                    Vous nous dites vos blogs préférés (ou toute source avec une alimentation de RSS). Nous te donnons une étiquette feevy personnalisée. Endroit juste l'étiquette dans votre calibre de blog et… coup ! Vos amis apparaîtront dans votre blog ! Feevy montre les derniers poteaux de vos blogs préférés dans une colonne les mettant dans l'ordre selon les dernières mises à jour, qui apparaîtront sur le dessus.
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Monabanq vous connaissez ? ?

Six mois après le lancement de Monabanq, l’établissement en ligne présente de nouveaux services et vise les internautes avertis « Monabanq va maintenant passer à une étape successive », nous explique Alain Colin, directeur général de l’établissement. Une étape appuyée par une campagne de soutenue, et qui marque également le succès de la mutation effectuée six mois auparavant. communication  cofevie surtout connue pour être un spécialiste du crédit, s’était alors transformé en une véritable banque en ligne. « Dans un premier temps, nous avons voulu conserver nos 200.000 clients, qui, pour l’essentiel, ne sont pas des Internautes avertis. Cette étape est franchie. Aujourd’hui, nous visons les internautes qui souhaitent une banque avec laquelle ils puissent avoir une relation en ligne de bout en bout ». L’œil du visio rendez-vous A l’appui de cette stratégie, deux services : le visio rendez-vous et la signature électronique. Concrètement, le premier service était déjà disponible depuis janvier. « Nous n’avons pas communiqué beaucoup à ce sujet, pour nous laisser un temps de rodage. Plus qu’un défi technologique, il s’agit d’une nouvelle pratique culturelle et humaine pour nos équipes de conseillers, qui ont du s’habituer à l’œil de la caméra », explique Alain Colin. Pour bénéficier de ce service, les clients doivent télécharger un logiciel de visioconférence de type Skype, et créer un pseudo. La prise de rendez vous se fait ensuite via mail. Et, à l’heure fixée, le client clique sur le lien « call me » inséré dans le courriel de confirmation. Un service apprécié des clients, à en croire les témoignages recueillis par l’établissement. La seconde innovation proposée par la banque passe par l’utilisation d’une signature électronique. Pour la mettre en œuvre, l’établissement a sélectionné Keynectis, un opérateur de service de certification qualifié par l’administration française, et également employé par le Minefi, le ministère des finances. Auparavant proposée pour un seul produit, cette signature est à présent utilisable pour l’ensemble des services bancaires, à l’exception de la première ouverture de comptes, contraintes légales obligent. Mais, au delà de ces innovations, l’établissement explique avoir également profité de ces six mois pour peaufiner l’ergonomie de son site, adapter sa politique tarifaire pour les petits retraits et observer les comportements des clients. Certains font par exemple un usage important- et non prévu par ses concepteurs- du coffre électronique. « Nous faisons beaucoup d’études pour savoir ce que souhaitent les clients, et nous allons certainement proposer de nouveaux services » annonce Alain Colin. Lesquels ? On ne le saura pas. « Nos concurrents nous observent, et nous tenons à conserver une longueur d’avance, même si nous avons l’avantage d’être une petite structure, plus réactive que les autres établissements » poursuit-il. Et, pour ces mêmes impératifs de réactivité, l’établissement préfère ne pas s’appuyer sur un intégrateur. « En interne, nous disposons d’une équipe informatique d’une cinquantaine de personnes, qui réalise environ la moitié des développements. Pour le reste, nous faisons appel aux meilleurs spécialistes, au cas par cas ». Une stratégie qui, en tout cas, a rapporté un bénéfice net de 4,5 millions d’euros en 2006. Un bon résultat qui tranche avec les échecs successifs des banques en ligne françaises comme Zebank ou encore Egg.
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PRINT CO e-printing :L'ere d'une nouvelle révolution

PRINT CO e-printing transforme le métier de courtier en imprimerie en permettant d'unifier les travaux d'imprimerie sur une plate-forme en ligne Même dans l'aire du numérique, le papier reste très présent et impose aux entreprises à la fois une charge financière et une problématique de gestion. Unifier l'impression chez un courtier en imprimerie a déjà permis à certaines entreprises qui impriment en gros volume de simplifier la démarche tout en réduisant les coûts. Un nouveau pas vient d'être franchi par le courtier PRINT CO, qui a déployé une plate-forme en ligne afin de simplifier la gestion des travaux d'imprimerie au travers d'un service Web accessible à tous les services et partenaires de l'entreprise. En ligne, la plate-forme est accessible et propose à l'écosystème de l'entreprise une bibliothèque de modèles de documents personnalisables, ce qui permet aux agences locales, aux succursales ou aux franchisés d’une marque d’organiser en toute autonomie le réapprovisionnement en têtes de lettres, enveloppes ou prospectus promotionnels. Pour la localisation des documents, un formulaire Web permet d’ajouter les informations variables telles que l’adresse, le nom du service, les horaires d’ouverture, etc. Toujours pour simplifier et accélérer le processus, l’utilisateur peut visualiser en ligne le résultat et valider le bon à tirer. Cette solution apporte à l'entreprise la garantie du respect de la charte graphique, mais également du contenu des documents à imprimer, puisque c'est elle qui les met à disposition de ses employés et de son réseau. De plus, l'entreprise dispose d’une vue consolidée des demandes d’impression, ce qui lui permet d'optimiser ses achats. A delà de la simplification de cette gestion, l'unification des travaux d'imprimerie va également - et surtout - permettre de réduire les coûts en autorisant la création d'un fonds en couleur qui sera repris sur les documents imprimés, et en automatisant un peu plus la réduction du nombre d'intervenants. Après le doux rêve du numérique qui supprime l'usage du papier, nous continuons à évoluer vers une nouvelle approche, plus pragmatique, du web qui réduit les coûts du papier...
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