La Grange Web

Un réseau social au féminin :Ladies Room

Ladies Room est un site écrit par des femmes et destiné à des femmes. Tourné vers le Web 2.0, il intégrera un réseau social...;

Sony contre You Tube ! ! ! !

Plus qu’un simple site de partage de vidéo, Sony lance ici un site qui devrait concilier ses services Internet, ses consoles de jeux et tous ses autres appareils High-Tech. Le site de Sony, pour l’instant, n’a été lancé qu’au Japon, ce qui n’empêche pas les internautes européens que nous sommes d’aller lui rendre une petite visite, avec le risque de ne rien comprendre au japonais. C’est en fonction du succès de cette version nippone que Sony déterminera la création de versions européennes et américaines. Nommé eyeVio, ce site devient donc le dernier concurrent en date du géant YouTube.

Victime de son succès, le site est encore assez lent. Mais l’interface est toutefois intéressante et assez intuitive. Notons que Sony espère, entre autres, créer par ce biais une plateforme de vidéos accessible et utilisable depuis une PS3 ou une PSP, qui disposeront chacune d’une petite caméra, permettant alors de prendre des vidéos pour les envoyer ensuite sur le site depuis sa console. Ce site s’inscrit donc dans la politique logique de la marque, et tente de rallier autour d’un même site communautaire tous les produits de la marque. Reste à savoir si cette stratégie permettra au japonais de rattraper un YouTube déjà très bien implanté dans ce domaine. Lancement européen prévu à la fin de la phase de test au Japon.
Le site ici

NetVibes et son modèle économique

Avec près de 10 millions d'utilisateurs dans le monde, le français NetVibes a profité de la récente Web 2.0 Expo, à San Francisco, pour dévoiler "NetVibes Univers", un système permettant une personnalisation complète du portail, pour ses utilisateurs mais pouvant être fourni à des partenaires, en marque blanche. «Les univers business seront payants avec un principe de facturation reposant sur un prix par user et par mois. Le partenaire peut choisir l'adresse web ou ajouter du contenu sur mesure» explique Pierre Chappaz, co-dirigeant de la jeune pousse aux côtés de son fondateur Tariq Krim. Discret sur le montant facturé à ses clients, Pierre Chappaz reconnaît toutefois que ces Univers déjà adoptés par plus de 130 clients seront l'un des trois «piliers du modèle d'affaires de Netvibes», aux côtés de l'affiliation (modules eBay, Kelkoo, Box.Net, ...) et prochainement du sponsoring des flux RSS.

En fait le probléme est toujours le même:l'arrivée de la publicité et des marques sera t'elle absorbé par les internautes .Quel est le taux d'acceptation qui permetra quelques sacrifices visuels ou autre.En tout cas ,cette présence publicitaire lié au modèle économique  ideal tant recherché ne peut exister sans "Education "au préalable.......

Le père d'Ooshop lance Ubiplanet, un nouveau réseau social

Pourquoi ouvrir plusieurs comptes pour partager ses photos, ses vidéos, sa musique ou encore ses calendriers sur Internet alors que tout pourrait être réuni en un point d'accès unique ? Telle est la réflexion qui a conduit François Barraud, ancien fondateur du cybermarché Ooshop, à créer avec un ami Ubiplanet. Ce tout jeune réseau social s'adresse avant tout à des individus qui cherchent à entretenir des relations privilégiées avec un cercle restreint de contacts : amis et famille. Une levée de fonds est prévue avant la fin de l'année. "C'est comme un supermarché : nous proposons tout sous un même toit", explique François Barraud. Il le reconnaît lui-même, l'approche à l'origine de Ubiplanet.com a été assez tranchée. "Le Web propose une multitudes d'outils de communication, mais le grand public ne va pas ouvrir des comptes partout". En effet, des services tels que Flickr, YouTube ou Live Messenger sont des références dans leurs spécialités, mais pas forcement des outils simples à appréhender pour tout un chacun. Tel est donc l'objectif de Ubiplanet.com qui entend proposer une suite d'outils de communication simplifiés, mais fonctionnels. Ce réseau social lancé depuis à peine quelques jours permet à ses utilisateurs de partager des photos avec leurs cercles de relations proches. Il mixe du mail, du blog, des newsgroups et de la messagerie instantanée pour permettre aux membres de chaque groupe de communiquer entre eux et de commenter les clichés. "Les membres n'utilisent pas de pseudo, mais leur vrai nom car le service vise à simplifier des relations qualitatives en cercles fermés, plutôt que quantitatives, comme on peut l'observer dans d'autres réseaux sociaux" explique François Barraud. Si la photo joue un rôle central dans ce nouveau réseau social, le support de nouveaux médias est en cours de développement. La vidéo en premier lieu avec le parti pris d'un encodage des vidéos depuis le poste client de l'utilisateur pour des raisons d'économie de bande passante. Le partage de playlists personnalisées avec ses pairs, ainsi que le partage de calendriers sont prévus avant l'été. D'autres projets sont à l'étude comme par exemple l'intégration de jeux multijoueurs du type échec ou backgammon. Ubiplanet devrait évoluer à terme vers une communauté de confiance qui ouvrira les portes à de nouvelles fonctionnalités, telles que du social shopping basé sur les recommandations d'amis. Une zone publique permettra aux membres du réseau de partager à plus large échelle les éléments qu'ils souhaitent. "Nous visons plus de 100.000 membres au plus vite", indique le co-fondateur du service qui prépare une levée de fonds comprise entre 1 et 2 millions d'euros avant la fin de l'année. Un partenariat avec un service de tirage de photos en ligne permettra à Ubiplanet de dégager des revenus en marge de l'affichage de publicité. L'équipe de développement du projet bénéficie d'une expertise pointue sur Flash et Flex de Macromedia et peut ainsi être amenée à proposer des conseils en la matière

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Second Life crée un chat vocal

Un chat vocal va être créé sur Second Life. Linden Lab, la société propriétaire du jeu a répondu aux attentes de ses membres en faisant appel à deux de ses partenaires, Vivox et DiamondWare, pour mettre au point cette amélioration. «La voix intégrée est une extension naturelle du monde virtuel que nos résidants construisent», pour Joe Miller, le vice-président de Linden Lab. Actuellement, pour discuter de vive voix, les utilisateurs n’avaient qu’une possibilité: utiliser un logiciel externe à Second Life, comme Skype, TeamSpeak ou Ventrilo. Avec ce nouveau système de discussion interne, il sera non seulement possible d'écouter toutes les conversations à proximité de son «avatar» mais aussi de parler à une autre personne ou de discuter à plusieurs, quelle que soit sa position dans le jeu. Pour éviter toute cacophonie, les propriétaires de terrains auront tout de même la possibilité de couper le son sur leur propriété.                                      Lancé en 2003, Second Life a peiné avant de trouver le succès qu’on lui connaît aujourd’hui. Les premières années ne furent pas les plus simples, mais les quelques 3 millions de joueurs s’étant inscrits dans la seule année 2006 prouvent que la simulation de vie en ligne connaît enfin son âge d’or. À tel point que l’idée a fait des émules, et que des concurrents voient aujourd’hui le jour, avec toujours l’ambition d’être meilleur. Outback Online, un Second Life en mieux ? Outback Online est un de ces concurrent, peut-être le plus ambitieux, comme le prouvent les propos de Randal Leeb-du Toit, PDG de l’éditeur du jeu : « Second Life est un village - et j’ai presque fini de bâtir Rome », annonce-t-il à la presse australienne. Car ce concurrent vient bel et bien d’Australie, avec la prétention de créer un monde persistant plus vaste et plus complet que Second Life. « Nous pensons que ce qu’a fait Second Life est déjà très bien, mais maintenant, c’est l’heure de passer aux « mondes virtuels 2.0 »... des mondes illimités et ouverts, » explique-t-il. Un grand retard à rattraper Outback Online fonctionnera sur une technologie P2P, évitant les fameux ralentissements connus lors de l’utilisation d’un serveur central. Bien sûr, le modèle économique du jeu ne devrait pas être franchement différent de celui appliqué dans Second Life. Outback Online est donc un jeu plein de promesses, mais cela suffira-t-il à rattraper les 4 millions de joueurs inscrits sur Second Life ?

La BBC diffusera des programmes sur YouTube

Professional generated content» ? Longtemps simple diffuseur de contenus amateurs, YouTube, l'une des deux plates-formes de VOD de Google, vient d'annoncer la signature d'un partenariat avec la chaîne britannique BBC afin de rediffuser certains de ses programmes : clips de nouveaux spectacles, contenu promotionnel dédié à des séries à succès, programmes documentaires, etc… « La mise en place de ce partenariat révolutionnaire entre la BBC et YouTube est une grande nouvelle pour nos téléspectateurs. YouTube est une passerelle clé pour séduire de nouveaux publics, au Royaume-Uni comme à l'étranger. Ce partenariat offre à la fois un débouché aux créateurs de programmes de la BBC pour divers contenus courts et la possibilité d'étudier de nouveaux types de comportement du public. Il est essentiel pour la BBC de trouver des moyens d'élargir son audience grâce à des partenariats non exclusifs comme celui-ci. » commente Mark Thompson, directeur général de la BBC. « Nous sommes très heureux de nous allier à la BBC pour offrir à la communauté YouTube les meilleurs programmes télévisés. Nous continuerons à investir dans nos plates-formes et technologies pour aider nos partenaires à tirer le meilleur parti de l'opportunité que constituent les milliards d'internautes. » ajoute Eric Schmidt, Président directeur général de Google. Depuis le rachat de YouTube par Google pour 1,65 milliard de dollars en septembre dernier, la plate-forme de vidéo à la demande multiplie les accords avec des ayants-droits : Warner, la NBA ou désormais la BBC. Reste toutefois à savoir si en coopérant avec YouTube, la BBC n'est pas en train d'aider un futur concurrent…

YouTube lance version mobile

Le premier acteur du partage de vidéos en ligne s'ouvre à la vlogosphère ! Après vpod, moblr ou plus récemment scroon, c'est au tour du géant du secteur, YouTube, de proposer un accès à ses vidéos depuis un simple téléphone mobile
                                                                                                . Pour celà, il suffit de pointer vers l'adresse m.youtube.com (ou videolinks.nokia.com sur un smartphone N-Series de Nokia) depuis un mobile, un PDA ou un smartphone pour accéder à une version optimisée pour les petits écrans de tels terminaux. Les services qui ont fait le succès de YouTube se retrouvent en partie sur les mobiles avec un moteur de recherche, un accès aux dernières vidéos ou encore avec une option de consultation des vidéos les plus visionnées ou les mieux notées. Il n'est cependant pas encore possible d'utiliser l'appareil photo numérique des smartphones pour transmettre par les airs des vidéos. YouTube, propriété de Google, prévoit de plus dans un premier temps un accès à son service aux seuls smartphones N-Series (N73, N93, N95) de Nokia même si l'adresse de YouTube Mobile peut être utilisée sur tous types de terminaux. Pour rappel, YouTube Mobile sera proposé, forfait DATA compris, prochainement via certains opérateurs mobiles (Verizon Wireless, Vodafone) ou depuis « Nokia Video Center », un logiciel Symbian S60 permettant de souscrire à des flux RSS, visionner des vidéos mais également de les synchroniser avec un PC. Dans le monde de la vlogosphère (univers des vidéos publiées par les internautes depuis un mobile), WAT.tv et DailyMotion en partenariat avec CellCast Interactif ou Soapbox (service de Microsoft) travaillent actuellement également au développement de leur version mobile.

You Tube et ses problèmes" d'ayant droit"

La plate-forme vidéo veut que les studios et les chaînes de télévision signent un accord de licence avec elle, avant de leur fournir sa solution de protection des contenus.                                                                                                                                                                

YouTube ne parvient décidément pas à s'entendre avec les ayants droit. Avec sa toute dernière annonce, la plate-forme de diffusion de vidéos a soulevé la protestation de plusieurs groupes de médias. Elle a en effet décidé de proposer sa solution de protection des contenus uniquement aux studios et aux sociétés qui auront passé des accords de licence avec elle. Le message est clair: YouTube ne filtrera les vidéos illégalement mises en ligne par les internautes que si, en contrepartie, les ayants droit lui fournissent légalement du contenu. Pour justifier sa position, la société affirme, dans un communiqué transmis à Reuters, que le processus d'identification des vidéos n'est pas automatisé. Par exemple, une émission de télévision appartenant à un groupe audiovisuel et mise en ligne sur YouTube peut contenir de la musique, détenue par une autre société. Au final, cela complique grandement le processus d'identification des contenus, argumente YouTube. Il faut donc que les groupes de médias coopèrent avec elle pour signaler quelles vidéos doivent être bloquées. Mais cette décision a fait grincer des dents. Le groupe américain Viacom, propriétaire de MTV Networks ou Comedy Central, a été le premier à réagir. «Cette proposition est inacceptable», a déclaré un porte-parole à  . Les relations des deux sociétés sont déjà plus que tendues, depuis que Viacom a exigé que YouTube retire de sa plate-forme tous les contenus illicites lui appartenant. D'autres évoquent «un chantage digne d'une mafia» pour qualifier l'attitude de YouTube. Cette décision est d'autant plus mal reçue que l'un des rivaux de YouTube, le site communautaire MySpace, a annoncé que sa propre solution de protection des contenus serait fournie gratuitement à ceux qui en feront la demande.

DailyMotion veut devenir un véritable media

Propos tenus par Benjamin bejbaum

DailyMotion se porte très bien et a récemment intégré le top 100 Alexa des principaux sites internet mondiaux. Le site génère désormais une audience de 2 millions de visiteurs uniques et 36 millions de pages vues par jour. C'est une formidable satisfaction pour moi et Olivier Poitrey, mon associé, car nous ne pensions pas connaitre un tel succès, deux ans à peine après le lancement du site. Au-delà de ce succès d'audience, nous notons également la présence de plus en plus de contenus créatifs : la petite ceinture, iPol TV, Micro Films, les TomCasts, Charlimar, Présidentielles.net, etc… ce qui nous pousse désormais à développer un programme baptisé "Motion Maker" visant à promouvoir les meilleurs contenus. Nous avons déjà annoncé des accords avec Warner ou la SPPF visant précisément à rémunérer les artistes. Mais l'ambition du programme Motion Maker est effectivement d'identifier les membres les plus créatifs et de pouvoir les rémunérer. Nous avons calculé que MetaCafé perdait de l'argent et pour le moment, le modèle économique de Motion Maker n'a pas été arrêté mais il sera basé sur le partage de revenus publicitaires. Notre philosophie sera plutôt d'offrir 100 euros à 10 personnes plutôt que 1 euro à 1000 personnes et nous n'excluons pas des avances sur recettes pour certains artistes qui souhaiteront un partenariat exclusif avec DailyMotion. DailyMotion continuera d'être une plate-forme communautaire mais nous comptons par contre imposer notre marque comme un véritable média. Nous nous voyons un peu comme un nouveau Nova ou un nouveau Canal+ avec de réelles ambitions dans les contenus. Nous restons donc sur un modèle publicitaire même si nous discutons également avec des sites de vidéo à la demande, pour leur renvoyer du trafic. Il n'y aura pas de DailyMotion TV mais nous discutons avec des chaînes de télévision comme Téléplaisance, entre autres Le mobile est effectivement un axe de développement et nous proposons depuis déjà deux ans d'uploader des vidéos en utilisant le format MMS. Mais nous ne pensons pas reproduire l'intégralité de la plate-forme sur le téléphone car je doute que cela soit vraiment une demande du grand public. L'idée serait plutôt de partager ses vidéos entre amis, de rester fidèle à notre logique communautaire

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Xing et LinkedIn le réseau a grande échelle

En France, avec 202.000 visiteurs uniques en décembre 2006, la plate-forme de mise en relation professionnelle Viadeo a génèré plus de trafic que le réseau social américain LinkedIn et ses 47.000 VU, d'après comScore. Au niveau européen, la concurrence est plus rude : L'allemand Xing (ex-OpenBC ou Open Business Club) aurait attiré 964.000 VU en décembre dernier, contre 548.000 pour LinkedIn, 320.000 pour l'espagnol Neurona et 240.000 pour le français Viadeo. Toujours selon comScore Networks Inc., à l'échelle mondiale, LinkedIn aurait attiré 1,78 million de visiteurs uniques en décembre, Xing 1,16 million et Neurona 436.000. Pour tenter de concurrencer ces plates-formes d'envergure mondiale, Viadeo a lancé fin 2006 son plan de développement à l'international. Le réseau français compte plus d'un million d'utilisateurs, à ce jour, et souhaite atteindre les 2 millions en 2008. Par comparaison, LinkedIn compte 9 millions de membres, dont 3 millions en Europe. La société californienne déclare générer 50% de son chiffre d'affaires avec les abonnements, 25% avec la publicité (Virgin Atlantic, American Express et Jeep comptent parmi ses annonceurs) et 25% avec les annonces 'emploi'. Aujourd'hui, beaucoup de gens pensent uniquement aux réseaux sociaux professionnels lorsqu'ils sont à la recherche d'un emploi. Progressivement, les internautes vont en élargir l'usage de façon à répondre à une variété de besoins professionnels.